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mardi 12 janvier 2016

Le Tchad, nouvel eldorado des chercheurs d'or...

UNE NOUVELLE RUEE VERS L'OR EST EN COURS AU TCHAD DANS LA REGION DU BATHA.

Des milliers de personnes arrivent de tout le pays pour mettre la main sur de nouveaux gisements découverts il y a peu dans la région du batha. Armés de pelles, de pioches et de détecteurs de métaux parmis les plus performants du marché ceux-ci creusent sans relache pour extraire de l'or toujours plus profond. De très grosses pépites sortent de terre, 20 grs, 50 grs, du jamais vu en si grosse quantité. Un utilisateur de détecteur de métaux tiens dans ces mains prés de 200 grammes d'or trouvé en 1 journée. Il réalise ces recherches avec un GARRETT ATX, modèle à induction pulsé très puissant pour la recherche d'or, et à un prix d'environ 2500 € sur le marché français.


La pénurie de matériel au Tchad pousse les chercheurs à acheter des détecteurs de métaux partout dans le monde.

vendredi 12 juin 2015

ALGERIE: Le nouvel Eldorado des chercheurs d'or et de diamants....


L'Algérie est surtout connue pour ces gisements pétroliers et gaziers, mais son sous sol regorge de nombreuses richesses. De l'or, des diamants, des ressources qui vont attirer des prospecteurs du monde entier à la quête du Graal. Il est fort à parier que dans les mois qui viennent les régions de REGGANE pour les diamants et HOGGAR pour l'or soient prises d'assaut par des milliers de chercheurs souhaitant s'enrichir rapidement.


Des ruées vers l'or il y en a eu bon nombre et il y en aura encore, de plus l'or étant une matière première qui tend à disparaitre dans le futur, son cours monteras encore dans les années à venir.
Les ventes de détecteurs hauts de gamme à induction pulsé connaisse une légère reprise en Juin, ce qui signifie que celle ci va s'accentuer dans les mois qui viennent. Notamment le détecteur de métaux GARRETT ATX et le MINELAB GPX 5000. Les clients cherches des détecteurs d'or fiables et puissants pour des terrains hostiles comme le désert, ou parfois la température peu dépasser 55°c.

vendredi 22 mai 2015

Détecteur d'or : Garrett ATX pack standard et pack DeepSeeker

La firme Américaine Garrett fabrique un détecteur spécial pour les chercheurs d'or, le Garrett atx. Ce détecteur de métaux spécial or fonctionne sur le principe de l'induction pulsé. Très facile d'utilisation, ce détecteur d'or ravira les chercheurs d'or natifs, car il excelle sur des terrains très minéralisés. Dèja de très belles pépites d'or ont été découvertes.
Son disque est étanche, il possède une canne télescopique réglable en hauteur.


 PACK STANDARD



Pack DeepSeeker


Retrouvez votre Garrett atx dans notre magasin.

mardi 19 mai 2015

Le MINELAB GPX 5000, le détecteur par excellence des chercheurs d'or

Le détecteur de métaux minelab gpx 5000, est un détecteur qui a largement fait ses preuves sur le terrains. Un très grand nombre de chercheurs d'or est équipé de ce matériel. Ce détecteur à induction pulsé ( PI ) a contribué a la découverte de pépites d'or faisant largement plusieurs kilos. Ces caractéristiques techniques lui permettent une prospection sur les terrains les plus difficiles.


Victime de son succès, les copies en provenance de chine se sont multipliés sur le terrain, à tel point qu'il est de plus en plus difficile de reconnaitre les vrais des faux. En achetant votre gpx 5000 dans notre magasin, vous êtes sur de l'origine du produit. Les gpx 5000 originaux sont fabriqués en MALAISIE et possèdes des moyens d'identification par rapport aux faux.

Un gpx 5000 vendu entre 1500 et 3000 dollars est forcément un faux avec des performances sur le terrain médiocres. Aucun ne peu remplacer la puissance d'un original, qui plus est est garanti 3 ans par le fabricant.

vendredi 24 avril 2015

Le MALI souhaite consolider sa 3éme place de producteur d'or en Afrique


Le Mali, avec 50 tonnes d’or par an, est actuellement le troisième producteur d’or en Afrique derrière l’Afrique du Sud et le Ghana. Talonné par le Soudan, notre pays entend mettre tout en œuvre pour conserver cette troisième place  et même tenter de bousculer le Ghana.
Dans les deux prochaines années, cinq nouvelles mines doivent ouvrir leurs portes. Cette information a été donnée par le ministre des Mines, Dr Boubou Cissé,  au cours d’un entretien qu’il nous a accordé la semaine dernière. Selon le ministre, la nouvelle vision de son département est de passer d’une politique minière fiscale à une politique minière de développement socio-économique avec la réalisation des infrastructures de développement.  


Depuis son arrivée à la tête de ce département, le jeune ministre Dr Boubou Cissé ne rate pas les grandes rencontres économiques pour vendre la destination Mali afin d’attirer les investisseurs dans ce secteur prioritaire pour notre pays. Ainsi, il a marqué de sa présence les grands fora internationaux consacrés à la question minière. La première conférence annuelle de ces  rencontres est celle de Indaba, en Afrique du sud qui regroupe plus de 7.000 professionnels des mines. Il y a, ensuite, les conférences sur les mines de Toronto, de Londres puis d’Australie.
 » Ce sont des rendez-vous à ne pas rater. Car il y a des ressources un peu partout à travers le monde. C’est donc une compétition  pour faire venir les investisseurs. Le Mali a, certes, quelques handicaps comme l’enclavement, l’insuffisance de production énergétique. Mais nous avons beaucoup d’avantages comparativement aux autres pays. 
Le premier est la très bonne qualité de  notre or. Nous avons un climat des affaires très attractif du point de vue fiscal avec des exonérations en taxes et impôts pour l’importation des équipements pour la réalisation des unités de production. Lors de l’exploitation, la nouvelle société minière est exonérée pendant  les trois premières années pour certaines taxes. L’une des particularités du Mali, c’est que le code minier va avec un contrat d’établissement  qui a une clause de stabilisation sur 30 ans pendant laquelle les conditions fiscales et certains avantages ne changeront pas même en cas de modifications de textes  » a souligné le ministre.
Le code minier actuel date de 2012. Si la révision de ce document n’est pas, pour le moment, une priorité, Dr Boubou Cissé s’est, par contre, engagé dans la modification des contrats qui lient l’Etat aux sociétés minières.
Neuf des dix de ces mines en activité sont sur le code de 1992 malgré le nouveau cadre législatif.  » Nous pensons que ces contrats doivent être modifiés pour que l’Etat puisse gagner mieux. Il s’agit de les transférer sous le code de 2012. On n’a pas voulu l’imposer aux sociétés minières comme l’ont fait certains pays. Nous voulons le faire dans un cadre concerté  » a-t-il expliqué. C’est dans cette logique qu’un consortium a été  choisi pour faire ce travail et le financement estimé à 500.000 dollars est déjà acquis.

L’Etat veut passer d’une politique minière fiscale à une politique de développement social
Selon le ministre des Mines, jusque-là, l’Etat malien a axé sa politique minière sur la fiscalité. Ce qui fait qu’il n’y a pas eu de développement des infrastructures à la base.
Ainsi, chaque année, les mines rapportent au trésor public entre 200 et 250 milliards de FCFA qui sont utilisés surtout pour les salaires des fonctionnaires et autres dépenses publiques.
La zone de Kéniéba renferme quatre mines de classe mondiale. Rien que la mine de Sadiola, qui a commencé sa production en 1992 est à 2.000 milliards FCFA à l’Etat. L’Etat n’a pas investi dans les infrastructures. Nous voulons sortir de cet objectif fiscal en allant vers les infrastructures de base : éducation, santé, environnement, routes, emplois etc.
La politique minière en cours date de 1999. Le département est en train d’élaborer une nouvelle politique non tournée vers la fiscalité. Ainsi, il a proposé la création d’un compte d’affectation or pour financer les projets de développement. Toutes les  recettes minières non fiscales doivent aller dans ce compte pour un niveau prévisionnel de 60 à 90 milliards de FCFA par an.
Cependant, le ministre explique que le peu de développement des zones minières n’est toujours pas le fait de l’Etat et des sociétés exploitantes, mais aussi des élus locaux qui n’utilisent pas correctement les fonds mis à leur disposition pour le développement social. Il a signalé que les villages peuvent percevoir 800 à 900 millions de FCFA en terme de patentes mais, personne ne sait où va cette manne financière.

Accroître la  production d’or 
Actuellement, le Mali produit 50 tonnes d’or en moyenne par an. Pour accroitre cette production, deux nouvelles mines vont ouvrir leurs portes courant 2015. Il s’agit de la mine de Koffi à Tabakoto qui doit être inaugurée le 26 avril prochain avec une capacité de deux tonnes d’or l’an. Elle sera suivie par la mine de Nampala dans la région de Sikasso qui doit démarrer en juillet prochain.
Si ces deux premières mines sont de petite taille, trois autres de classe mondiale devront voir le jour d’ici 2017 avec une capacité totale de 20 tonnes l’an. La première est la mine de Fekolo qui produira 120 tonnes en 12 ans soit 10 tonnes par an. Ensuite, la phase deux de Sadiola qui produira entre 100 et 120 tonnes et enfin, la mine de Kobana. Avec ces nouvelles sociétés, le Mali pourra consolider sa troisième place africaine de producteur d’or.
Malheureusement, les mines ayant une durée de vie limitée, deux d’entre elles devront fermer  dans les deux années à venir : Moréla et Yatéla.

Orpaillage : pas moins de 150 milliards de FCFA échappent par an à toute fiscalité 
 » A notre arrivée, il y avait des mouvements sur certains sites d’où les gens avaient été expulsés. Nous avons beaucoup évolué par rapport à notre approche sur ce phénomène. Aujourd’hui, c’est un problème social, des villages ont, du jour au lendemain, triplé leur population. Ces pratiquants sont en train de causer beaucoup de dégâts avec des techniques semi-professionnelles. L’Etat ne peut pas rester inactif face à cette situation. Dans un premier temps, nous avons opté pour la force car les orpailleurs ne respectent nullement la loi. Après, on sait rendu compte que cette activité est une réalité économique profondément ancrée dans notre société. On  a estimé à deux millions le nombre de personnes vivant de cette activité. C’est un moyen de subsistance, voire de réduction de la pauvreté mais à condition d’il soit encadré.
On ne peut pas la combattre, mais on peut voir comment l’intégrer dans notre situation économique. Officiellement l’activité produit 4 à 5 tonnes par an. Mais nous avons mené une petite enquête qui révèle que la production tourne autour de 10 à 12 tonnes par an. Même si nous maintenons 5 tonnes l’an, cela engendre un chiffre d’affaires de 150 milliards de FCFA de revenus, mais qui échappent à toute fiscalité de l’Etat. C’est pourquoi, nous venons de faire adopter par le gouvernement un plan d’actions sur l’orpaillage sur la base des recommandations du forum sur le phénomène.
A travers ce plan des actions d’accompagnement seront menées envers les orpailleurs pour que l’activité puisse se dérouler dans les règles de l’art, à savoir que l’Etat gagne sa part et les orpailleurs vivent dignement de leur travail. Mais ça va prendre du temps car il y a beaucoup d’intérêt en jeu » a expliqué le ministre.
 » Il n’y a pas de doute que le pétrole existe au Mali, la seule question est la rentabilité  » le ministre Cissé dixit
Malgré les efforts inlassables consentis ces dix dernières années dans la recherche pétrolière, l’or noir tarde à couler au Mali. Le gouvernement sous, l’ère IBK, entend maintenir le cap, même si le contexte sécuritaire n’est pas favorisant. Ainsi, un contrat vient d’être signé avec la société COMPAS, cotée à la Bourse de Londres et qui dispose des actionnaires crédibles avec, notamment la plus grande société pétrolière du Nigeria et qui a les capacités techniques et financières de faire des forages, à en croire le ministre.
Boubou Cissé est convaincu que la signature de l’accord d’Alger ouvrira la porte aux investisseurs pour la recherche pétrolière au nord de notre pays . Il y a eu des manifestations d’intérêt des sociétés canadiennes et chinoises pour le bloc 4, mais tout le monde reste dans l’expectative face à la situation au nord du pays. Selon le ministre, il n’y a pas de doute que le pétrole existe au Mali, mais l’inconnu reste la rentabilité de son exploitation. « Alors que les sociétés pétrolières (comme ENI et Sonatrach)  étaient sur cette question pertinente, la crise a éclaté  » a regretté le ministre.
La diversification de  la production reste  une priorité
A côté  de l’or et du pétrole, le gouvernement n’a pas oublié les autres richesses dont regorge le sous-sol malien qui est riche de tous les minerais. Ainsi, il y a le cas de l’uranium  qui a été détecté notamment dans le nord et à Faléa avec  une quantité dont l’exploitation n’est pas rentable. En effet, la capacité est estimée autour de 5.000 à 10.000 tonnes alors qu’il faut au moins 15.000 tonnes pour que la production soit rentable. Ce qui est évident, c’est que la qualité du fer au Mali ne souffre d’aucune ambigüité.
Il y a aussi le phosphate, la bauxite et le manganèse. S’y ajoute le fer dont l’exploitation avait commencé sur la route de Koulikoro, mais la société a connu des difficultés. Le permis d’exploitation est en train d’être retiré pour être réattribué à une autre société.
Aussi, il y a lieu d’ajouter le diamant à Loulou et à Kangala, mais la quantité reste à définir. Mais face au fait que le diamant fait l’objet d’une procédure particulière pour son exportation, afin d’éviter qu’il ne serve à financer les guerres, le Mali vient d’être certifié par le processus de Kimberley.

Source: MALIWEB

samedi 11 avril 2015

Ma ruée vers l'or

Mon incroyable histoire sur la ruée vers l'or au MALI en 2012.

J'ai ouvert le magasin HOBBY ONE spécialisé dans la vente de détecteurs de métaux sans imaginer ce qui allais ce passer quelques mois plus tard. Durant toute l'année et ce jusqu'au mois de Décembre 2011, je lançais doucement ma petite entreprise. Le 13 décembre 2011 j'ai reçu un appel du MALI. Je n'avais encore jamais travaillé avec des pays Africains à ce moment la. La personne se présente, un certain Mr Djiguiba, qui voulais se lancer dans la vente de détecteurs à petite échelle pour fournir quelques connaissances en matériel d'entrée de gamme. Je me suis dis pourquoi pas tenter ma chance, sait on jamais. J'ai regarder sur le net les possibilités au MALI pour la vente de matériel, et je me suis rendu compte du potentiel dans la recherches de pépites d'or au détecteur de métaux. Ma première commande arriva et fût expédié après paiement de la marchandise le 17 décembre 2011. Pendant ce temps j'ai eu vent d'une mini ruée vers l'or dans le pays voisin, la guinée conakry. Des centaines de chercheurs d'or affluaient dans la zone aurifère de SIGUIRI.
Djiguiba, habite la ville de BAMAKO, qui est environ à 200 km de la zone aurifère de SIGUIRI.
Possédant de nombreux contacts sur place il me commande 10 GARRETT ace 250. Une semaine plus tard, je reçois un nouveau paiement pour 50 machines. Et la......... entre début janvier et fin février 2012 ce ne sont pas moins de 600 détecteurs GARRETT qui furent exportés pour ce seul client. A partir du mois de mars les clients se sont rués au magasin, ils arrivaient de partout en France, Tous les magasins étaient pris d'assault. Les Maliens arrivaient par avion pour ramener avec eu des détecteurs de plus en plus puissants pour la recherche de pépites d'or. Garrett AT GOLD, MINELAB X-TERRA 705 GOLD, GPX 5000, Fisher GOLD BUG, en bref tous les modèles avec le mot gold partaient comme des petits pains.

Des clients repartaient avec 10 ou 20 machines, mais ce qui devait arriver, arriva.
La demande étant trop forte, les fabricants n'arrivèrent plus à suivre le rythme croissant de cette demande incessante en matériel. Les ruptures de stocks étaient fréquentes. Après avoir commencé les recherches avec du petit matériel, le besoin de matériel encore plus puissant c'est fais sentir. La demande de MINELAB GPX 5000 a explosé. Malheureusement les quantités qui nous étaient attribuées en Europe étaient minimes. Heureusement, j'avais anticipé ce problème en me fournissant en détecteurs à induction pulsé en Allemagne. j'ai pu alimenter le marché au Mali.

En fin d'année 2012, plusieurs autres pays comme le TCHAD, le NIGER, Le BURUNDI, Le SENEGAL etc ... se sont lancés à la conquête de zones aurifères.

Les fabricants de détecteurs de métaux se sont implantés sur place dans chaque pays ou il y avais de l'or à découvrir. Du coup les ventes en France de matériel de détection pour les chercheurs d'or a diminuer au point de s'arrêter quasiment en milieu d'année 2013.

Il n'est pas dis que dans les années à venir, de nouvelles ruées vers lors ne verront pas le jour.
Le continent Africain regorge de richesses.

Je n'oublierais jamais que quand la chance vous sourie, il ne faut pas la laisser passer. Que se soit dans le travail ou la vie de tous les jours.


Je voulais remercier Djiguiba en lui dédiant cette page. Grace à lui HOBBY ONE a trouvé son jumeau à BAMAKO.

Bonne route l'ami, que tes affaires prospères dans les années futures.
Et à bientôt pour de nouvelles aventures.....
FRED

Je vous mettrais un film tourné par djiguiba en pleine brousse avec des chercheurs d'or.